Saint-Etienne et Lyon : un partenariat tourné vers la technologie de l’avenir

Selon le quotidien Le Progrès, Saint-Étienne et Lyon souhaiteraient industrialiser le concept Manutech. Une machine de haute-technologie qui n’en n’est qu’au stade scientifique. Un projet d’envergure qui permettrait des retombées économiques pour les deux partenaires.

Mettre en forme industriellement le concept de machine Manutech, voilà l’objectif de Saint-Etienne et de Lyon. Cette nouvelle technologie n’a pas encore de forme officielle, car elle n’est pour l’instant qu’un projet scientifique. Or, fabriquer cette machine aux multiples répercussions serait un enjeu économique essentiel pour le territoire local, et permettrait de développer de nouvelles compétences.

D’après Le Progrès, Manutech est une machine qui pourrait servir dans l’automobile, l’aérospatiale ou encore la climatisation… Divers domaines seraient donc concernés par les performances de cette nouvelle technologie. Toujours selon le quotidien, sa future production pourrait être installée sur le site universitaire stéphanois. Pour cela, un partenariat avec des entreprises locales de Saint-Etienne et de Lyon est nécessaire pour concrétiser ce projet. Ces deux villes disposent de toutes les caractéristiques (entreprises, laboratoires de recherche, industries, universités…) pour développer ce projet.

Or pour se développer, ces dernières comptent sur le Grand Emprunt de l’Etat. Il faut pour cela est retenu. Un apport de l’Etat qui serait très important (8 millions d’euros). Les enjeux et les espérances sont donc énormes.

L’aboutissement de ce projet aurait plusieurs conséquences pour les deux villes rhônalpines. A côté du développement économique du territoire, ce projet serait une formidable carte de visite en termes de savoir-faire et de compétences pour les divers partenaires. En somme, une manière d’être attractif.

 

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Journaliste de formation, j'occupe actuellement la fonction de rédacteur au sein du réseau des sites Internet de services aux entreprises du groupe Libbre. Je peux justifier d'une expérience de six ans dans la presse quotidienne angevine au sein de trois quotidiens : la Nouvelle République, Ouest-France puis le journal majoritaire en Maine-et-Loire : le Courrier de l'Ouest (2007-2009).

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